Foën Izella, association d’étude de l’histoire locale du Pays Fouesnantais, vient de faire paraître sa revue semestrielle N° 58. Ce fascicule, agrémenté de très nombreuses illustrations couleur, consacre ses premières pages à un ancien écrit de Guy Rannou « Le Gouërou, une anse de la baie de La Forêt ».
Dans les pages suivantes, Paul Quéméré retrace « l’histoire du Grand Hôtel Celtique du Cap-Coz, une authentique institution fouesnantaise », récit passionnant d’un itinéraire familial ou s’entremêlent l’histoire et la vie locale.
Claude Fagnen, dans un exposé d’une grande érudition, magnifiquement illustré, nous fait pénétrer dans l’univers de la paramentique, science particulière qui étudie les tenues et parures portées lors des cérémonies par les prêtres de l’Eglise catholique.
La revue se poursuit par un article très documenté de Renan Clorennec, retraçant « l’itinéraire singulier d’un Père Jésuite, Roger Cuzon », enfant de Benodet, engagé dans la Résistance, FFI 7ème Compagnie. Fin 1944 commence son engagement religieux, jusqu’à l’ordination en 1954 ; il sera un ardent missionnaire, rayonnant de Paris sur Douala, Yaoundé, Le Caire, Saïda…
On découvre plus loin, sous la plume de Annick Le Douget, «le parcours chaotique de Marie-Anne Le Corre », jeune fouesnantaise sans foi ni loi qui finira sa vie à 37 ans, en 1870, au bagne de Guyane.
Yves Corporeau, fidèle lecteur, nous transmet une petite étude de son nom de famille. Le patronyme « Corporeau » ne serait porté que par 80 personnes en France, et la presque totalité de ces personnes sont nées ou vivent encore dans le canton de Fouesnant.
Dans le cadre de son projet « découverte du petit patrimoine rural » Foën Izella a entrepris de répertorier les anciens fours à pain du Pays Fouesnantais. Yvonne Nicolas clôt La revue par la description et un petit historique du four en ruine de Kervransel à Fouesnant.
Bonjour,
Nous sommes un petit groupe d’amis installés dans le pays Fouesnantais et passionnés de lectures poésies et peintures retraçant l’histoire de Fouesnant et ses grands poètes aujourd’hui disparus . Grâce à vous nous retrouvons la trace de du poète Jos Parker et depuis nous animons nos soirées poésies en évoquant cet illustre Fouesnantais et avons pour cela trouvé quelques uns de ses ouvrages . Je m’étonne de ne voir nulle part dans le bourg une plaque en son souvenir . Seule le Ti Plouz, sa dernière demeure pour qui veut s’arrêter et deviner qu’il y a vécu rappelle sa mémoire . Je serais heureuse de vous rencontrer si toutefois nous pouvions à l’occasion d’un événement participer et apporter notre contribution. Bien à vous Agat